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Mon Histoire

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Ely'Ondre - Artiste Peintre

Ely’ondre Artiste Peintre ” un bien grand mot “ :

Nous sommes tous artistes, chacun avec son savoir faire .

J’ai choisi les pinceaux. Communiquer et transmettre mon ressenti.

Je me suis laissée guider… Au fil du temps, j’ai commencé à crayonner en reproduisant des images.

En passant par une école d’art, j’ai fait du modèle vivant… ma spécialité !

Découvrant ainsi, différents univers, figuratifs ou abstraits.

La peinture m’aide à voir au-delà de ce qui est, laissant la porte ouverte à l’imaginaire de celui qui la regarde.

Élisabeth Le Yondre

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L'énergie et le principe d'exigence

On ne quitte pas la mer lorsque celle-ci vous a vu naître. Et c’est bien de cette mer, celle qui dévore le granit et projette son écume audacieuse à la tête du promeneur, qu’Élisabeth Le Yondre tire son énergie créatrice.

C’est vers cette mer aussi qu’elle se tourne comme source d’inspiration, trouvant dans son insondable profondeur les éléments qui composent son œuvre.

Chez cette artiste peintre, point de marine figurative détaillée, saisie par un œil photographique. Point de « joliesses » aseptisées, figées sous des glacis lisses.

Non, ici, c’est de la vraie peinture, de celle que l’on fait naître sur la toile comme l’on vit une passion ardente. Comme l’océan lui-même, il y a dans une existence des moments assoupis et d’autres embrasés.

Des mots doux et d’autres parfois violents. Les toiles d’Élisabeth Le Yondre mêlent toutes ces évidences car la vie est ainsi faite. Au fond, quel que soit son thème, c’est la vie, la nôtre qu’elle rend visible jusque dans son expression la plus embryonnaire.

Chaque surface peinte est prétexte à la bataille des formes qui se tendent, de la couleur aux tensions exacerbées et de la matière qui émerge sous l’action du pinceau et du couteau.

La force de la peinture d’Élisabeth Le Yondre résulte de ses gestes énergiques et convaincus et de son regard authentique que je qualifierai de vrai « regard primitif ».

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Le nu comme genèse

Après les Beaux-Arts de Lorient (1977), l’entrée dans le monde du travail l’éloigne de sa Bretagne natale.

Pour garder son œil ouvert comme elle dit, Élisabeth cotoie pendant plus de trente ans de nombreux ateliers parisiens.

Elle découvre et se perfectionne dans l’étude du nu. Le corps humain devient la base même de ses premiers pas en tant qu’artiste peintre.

À partir de 2004, d’expositions en salons (St Tropez, Nantes, Auvers sur Oise…), elle affirmera son talent un peu partout en France.

Partager pour s’enrichir mutuellement, demeure une action fondamentale pour l’artiste qui crée un concept-néo-figuratif en compagnie de deux autres peintres (travailler le même motif simultanément dans la même unité de temps et de lieux). Se projeter au-delà, voilà pour Élisabeth une réelle nécessité.

La fin de cette expérience commune la ramène vers la Bretagne, où elle puise dans le métier de l’ostréiculture son nouveau thème « Je connais une île ».

Son travail sur l’infiniment petit, à travers la représentation du « plancton » lui fait découvrir l’indiscible porte de l’abstraction.

Se faire plaisir en partageant

Donner, transmettre, convaincre que l’art est un moment privilégié de la vie qui élève et rend heureux, Élisabeth Le Yondre le sait et sait le faire partager.

Active auprès des associations, elle enchaîne cours, formations, animations dans plusieurs ateliers d’arts plastiques. Se faire « plaisir » tel est le maître mot.

Sa vie artistique ne serait pas complète si l’on n’évoquait pas son travail en public et en direct (Croq’live). C’est sans doute lors de concerts de jazz ou de tango, de spectacles de danse, de fest-noz… que s’exprime le mieux sa personnalité en totale communion avec les autres.

Absorbée par l’instant, mue par le ressenti immédiat, elle traduit à l’aide du dessin et de la couleur, dans une gestuelle rapide et précise ce que l’œil lui donne à voir.

Biographie écrite par « Serge San Juan« 

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